PALMARÈS DES PRIX CST
POUR LA 75ÈME ÉDITION DU FESTIVAL DE CANNES
La CST – Commission supérieure technique de l’image et du son, est heureuse de décerner :
Avec le soutien de l’AFDAS, Audiens, ARRI et Création Petrusse
Le Prix CST de la jeune technicienne de cinéma à :
Le Prix CST de l’artiste-technicien à :
La CST – Commission Supérieure Technique de l’Image et du Son, est fière de présenter son palmarès pour la 75èmeédition du Festival de Cannes. Au fil des années, le palmarès s’est agrandi afin de mettre en valeur l’importance du savoir-faire créatif et technique de tous les technicien.ne.s du cinéma. Deux lauréats sont récompensés pour la qualité de leurs gestes techniques au service de la vision défendue par le.la réalisateur.trice.
Depuis 2003, le prix est remis nominativement à un artiste technicien pour la qualité de son travail lors de la fabrication d’un des films de la compétition officielle.
L’équipe Son était constituée de Jonas Rudels et Jacob Ilgner – Sound Engineer – et de Andreas Franck, Bent Holm – Sound Design & Re-recording Mix.
« Le jury du prix CST de l’artiste-technicien décerne le prix 2022 à l’ensemble de l’équipe Son du film « Triangle of Sadness » de Ruben Östlund. Ce prix vient saluer la créativité et la mise en scène des univers sonores qui contribuent à faire plonger les spectateurs au cœur de la frénésie de cette satire acide et déjantée. » annonce le jury.
Le jury de professionnels était constitué à parité de : Evgenia Alexandrova – cheffe opératrice et réalisatrice, Sophie Chiabaut – ingénieure du son, Agnès Salson – programmatrice de cinéma, Bertrand Seitz – chef décorateur, François Troukens – réalisateur et Fred Volhuer – PDG d’Atlas V.
Marion Burger, cheffe décoratrice de Un petit frère de Léonor Serraille.
Diplômée en design textile à l’école Duperré en 2009, puis étudiante à la Danmarks Designskole à Copenhague en 2010, elle se passionne pour la transversalité des supports de création et termine ses études en Design et Environnements à la Sorbonne en 2011.
Depuis 2015 elle a été cheffe décoratrice sur une dizaine de longs métrages.
« Avec Un petit frère de Léonor Serraille, pour lequel elle a œuvré avec finesse pour restituer les décors d’un Paris des années 80, elle montre sa capacité à porter un projet ambitieux. À seulement 34 ans, Marion fait preuve d’une carrière déjà remarquable avec un certain nombre de films exigeants. » souligne le jury.